Atoms4Food

Initiative conjointe de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et de l’Agence, Atoms4Food vise à fournir aux états Membres des solutions intégrées et sur mesure en tirant parti de la science et des technologies nucléaires ainsi que d’autres technologies avancées, dans le cadre de sept services.
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Atoms4Food a pour objectif d’améliorer la sécurité alimentaire pour tous en rendant la transformation des systèmes agroalimentaires plus efficace, plus inclusive, plus résiliente et plus durable. En 2024, l’initiative a continué d’aiguiser l’intérêt des états Membres et des donateurs pour l’application des techniques nucléaires dans l’alimentation et l’agriculture.
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En 2024, l’Agence a élaboré un plan complet de mise en oeuvre de l’initiative Atoms4Food, qui vise à optimiser l’utilisation des applications nucléaires pour une transformation des systèmes agroalimentaires axée sur la durabilité. La mission d’évaluation d’Atoms4Food permettra de réaliser un état des lieux et d’analyser les besoins spécifiques et les priorités stratégiques des états Membres. Pour ce faire, elle recensera les besoins des pays en matière de sécurité alimentaire et de nutrition ainsi que l’avantage comparatif que représenterait pour ces pays l’utilisation de techniques nucléaires et isotopiques, et de techniques associées, ce qui fournira une base de travail pour la planification d’interventions sur mesure. Un questionnaire a été mis au point afin de définir les besoins et les exigences prioritaires des états Membres dans le cadre d’Atoms4Food ; il porte notamment sur les politiques, les capacités en matière de recherche-développement, les moyens technologiques, les infrastructures et les ressources humaines et financières de ces pays.
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En décembre 2024, l’Argentine, le Bénin, le Burkina Faso, l’érythrée, l’Eswatini, le Ghana, le Kenya, la Mauritanie, le Niger, les Philippines, la République-Unie de Tanzanie et la Sierra Leone avaient officiellement sollicité une aide dans le cadre d’Atoms4Food. Le Bénin et le Burkina Faso ont fait preuve d’une grande détermination en matière de sécurité sanitaire des aliments : ils ont organisé des réunions de lancement nationales au niveau ministériel.