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          Conférence internationale de Tokyo sur le développement africain : les ministres soulignent l’impact de l’AIEA

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           From left: Feng Dongxin, Takashi Nakano, Alue Dohong, Amadou Dicko, El Vadil Ahmed Louly Paul Kipronoh Ronoh, Khumbize Kandodo Chiponda, Joe Phaahla, Samba Cor Sarr, Toshio Kaneko, May Abdel-Wahab, Gashaw Wolde and Laura Vei.

          Les initiatives phares de l’AIEA ont un effet sur le développement mondial en appliquant les techniques nucléaires pour relever des défis cruciaux tels que la santé, la sécurité alimentaire, la durabilité environnementale et les changements climatiques. (Photo : Juli Sekiguchi/AIEA)

          L’AIEA a réuni des intervenants internationaux de haut niveau à la neuvième Conférence internationale de Tokyo sur le développement africain (TICAD 9) pour montrer comment la science et la technologie nucléaires font progresser les soins contre le cancer et la sécurité alimentaire sur le continent africain. Lors de l’événement thématique organisé par l’AIEA la semaine dernière, les participants ont entendu des ministres et des hauts représentants de l’Afrique du Sud, du Burkina Faso, du Kenya, du Malawi, de la Mauritanie et du Sénégal, ainsi que des représentants du Japon et de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Les intervenants ont témoigné des résultats tangibles que les initiatives phares de l’AIEA, Rays of Hope et Atoms4Food, ont permis d’obtenir en Afrique et du r?le important que le programme de coopération technique de l’AIEA joue dans la progression du développement durable de l’Afrique.

          ??L’événement d’aujourd’hui nous permettra de partager les réussites, les expériences et les défis, mais également de nouer des partenariats qui permettront de mettre sur pied des projets tangibles et concrets dans le cadre des initiatives Rayons d’espoir et Atoms4Food. L’AIEA est déterminée à faire en sorte que l’Afrique puisse tirer pleinement parti des applications pacifiques de la science et de la technologie nucléaires??, a déclaré Rafael Grossi, Directeur général de l’AIEA, dans son allocution d’ouverture prononcée à distance.

          ??Le Japon, qui attache une grande importance à la science et à la technologie nucléaires, encourage activement la coopération internationale, notamment en Afrique, dans le cadre d’un partenariat solide avec l’AIEA. Le Japon insiste sur la coopération dans deux initiatives importantes de l’AIEA, Rayons d’espoir et Atoms4Food??, a déclaré Eri Arfiya, Vice-Ministre japonais des affaires étrangères, lors de l’événement.

          En juin 2025, le Japon a apporté plus de 10 millions d’euros à l’initiative Rayons d’espoir de l’AIEA, dont 5 millions d’euros pour l’achat d’appareils de mammographies destinés à 22 pays africains. Un réseau de 16 instituts et centres de cancérologie à travers le pays sert actuellement de centre d’excellence Rayons d’espoir dédié à la connaissance et au renforcement des capacités, qui crée des possibilités de progrès régionaux et interrégionaux. Le Japon a également contribué à l’initiative Atoms4Food en apportant environ 6,6 millions d’euros pour soutenir des activités en Afrique, notamment l’amélioration de la production animale en C?te d’Ivoire et le renforcement de la sécurité alimentaire en Mauritanie.

          Promouvoir les soins contre le cancer pour tous

          Une table ronde a été organisée avec le coordonnateur général du centre d’excellence Rayons d’espoir japonais, Takashi Nakano, la Ministre de la santé du Malawi, Khumbize Kandodo Chiponda, le chef de cabinet du Ministère de la santé et de l’action sociale du Sénégal, Samba Cor Sarr, le Vice-Ministre de la santé d’Afrique du Sud, Joe Phaahla, et la Directrice de la division de la santé humaine de l’AIEA, May Abdel-Wahab. (Photo : Juli Sekiguchi/AIEA)

          Les participants à l’événement thématique ont pu entendre d’eux-mêmes comment les pays africains ont amélioré leurs services de lutte contre le cancer depuis le lancement de Rayons d’espoir en 2022. Plus de 20 pays d’Afrique n’avaient même pas un seul appareil de radiothérapie et l’AIEA, à l’aide de ses programmes de coopération technique et de santé humaine, comble cette lacune en améliorant l’accès à des services et installations vitaux de médecine radiologique.

          Khumbize Chiponda, Ministre de la Santé du Malawi, a remercié l’AIEA d’avoir aidé à créer le premier centre public de radiothérapie du pays, qui a ouvert ses portes le mois dernier, et encouragé tous les pays membres de l’AIEA à soutenir l’initiative Rayons d’espoir et à s’y engager, à l’image du Japon.

          Douze centres d’excellence Rayons d’espoir ont déjà été créés dans des institutions partenaires de longue date de l’AIEA, dont trois en Algérie, au Maroc et en Afrique du Sud. Les missions d’experts de l’AIEA dans ces centres ont permis non seulement d’élaborer des plans de travail conjoints mais aussi de définir les domaines dans lesquels l’AIEA peut améliorer encore les capacités de ces centres de connaissances et de renforcement des capacités. Représentant le centre d’excellence de l’Afrique du Sud,?l’infrastructure de recherche en médecine nucléaire (NuMeRI) de l’h?pital universitaire Steve Biko, le Vice-Ministre sud-africain de la santé Joe Phaahla a souligné dans son intervention l’engagement de son pays en faveur de l’amélioration des soins contre le cancer dans la région.

          ??L’h?pital universitaire Steve Biko a déjà collaboré avec l’AIEA dans les domaines de la recherche clinique, de l’éducation, de la formation et de l’assurance de la qualité. Maintenant, après avoir conclu un accord de centre d’excellence avec l’AIEA dans le cadre de son initiative Rayons d’espoir, nous sommes prêts à appuyer la création et la modernisation de centres de cancérologie sur tout le continent??, a déclaré M. Phaahla.

          Renforcer la sécurité alimentaire en Afrique

          Le Ministre de la pêche de Mauritanie, El Vadil Ahmed Louly, le Vice-Ministre de l’agriculture du Burkina Faso, Amadou Dicko, le Sous-Directeur général de la FAO, Alue Dohong, et le Secrétaire principal du Département d’état à l’agriculture du Kenya, Paul Kipronoh Ronoh, ont ensuite participé à une discussion de haut niveau sur l’amélioration de la sécurité alimentaire en Afrique.?(Photo : Juli Sekiguchi/AIEA)

          En Afrique, les problèmes de sécurité alimentaire ont augmenté en 2024?: selon le rapport SOFI 2025, publié en juillet 2025 à Addis-Abeba au cours de l’événement UNFSS+4, environ 20?% de la population africaine, soit 307 millions de personnes, souffraient de la faim l’an dernier.

          Le débat sur l’alimentation et l’agriculture a réuni des représentants du Burkina Faso, de la Mauritanie, du Kenya et de la FAO, qui ont décrit les bienfaits d’Atoms4Food, l’initiative conjointe de la FAO et de l’AIEA. Lancée par les deux organisations en 2023 sur la base de leur partenariat de longue date au sein du Centre mixte FAO/AIEA des techniques nucléaires dans l’alimentation et l’agriculture, l’initiative Atoms4Food vise à fournir des solutions adaptées aux besoins du système agroalimentaire de chaque pays.

          Les missions d’évaluation d’Atoms4Food aident les pays à déterminer leurs besoins en sécurité alimentaire et à élaborer un plan pour résoudre les problèmes relevés. Dans le cadre d’Atoms4Food, l’AIEA, en collaboration avec la FAO, aide les pays à utiliser des techniques nucléaires et isotopiques dans six domaines clés?: l’amélioration des variétés de cultures, la gestion des sols et de l’eau et la nutrition des plantes, la production et la santé animales, la lutte contre les insectes ravageurs, la sécurité et le contr?le des denrées alimentaires et la nutrition en matière de santé publique.

          ??Au Burkina Faso, dans le cadre d’Atoms4Food, huit variétés de riz à haut rendement ont été développées et inscrites au catalogue national des variétés. En outre, les laboratoires d’analyse ont été renforcés par l’acquisition de matériel divers, ce qui a amélioré leurs performances??, a expliqué Amadou Dicko, Vice-Ministre de l’agriculture, des ressources animales et de la pêche du Burkina Faso. Il s’est félicité de la première évaluation d’Atoms4Food au Burkina Faso, qui a jeté les bases d’une mise en ?uvre réussie des projets intégrés.

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